Quelles sont les caracteristiques a rechercher chez un mentor ?
Certains personnages sont plus aptes au tutorat ou mentorat que d’autres. Mais dans une entreprise, il peut y avoir des représentants supérieurs, compétents et très performants qui n’ont pas les capacités délicates pour guider un travailleur junior dans une circonstance difficile et réellement épuisante. Découvrez dans cet article les caractéristiques d’un bon mentor.
Un bon mentor est à l’écoute
Un bon mentor est capable d’écouter, de mémoriser et d’examiner les subtilités que son protégé partage avec lui. Pour en savoir plus sur le mentorat, visitez www.developpementpersonnel.fr. Quelques écarts de conversation peuvent sans aucun doute persuader les élèves de penser que leur mentor ne se concentre pas vraiment sur eux ou ne traite pas ce qui se passe de manière sérieuse. Une attention sans partage est importante dans la relation mentor-mentoré, car elle est la raison de la direction, de la connaissance et de l’amélioration. Si vous remarquez un cadre supérieur qui vous demande systématiquement ce que vous faites vers la fin de la semaine et qui s’assure de poser une autre question le lundi, il y a de fortes chances qu’il s’agisse de quelqu’un d’attentif.
Un bon mentor est libéral
Un mentor ne doit pas porter de jugement. Une relation efficace entre le tuteur et le tutoré dépend du fait que le tutoré se sente à l’aise pour faire part de ses difficultés à son mentor. Si un tuteur ou mentor, à sa place influente, dédaigne ou réduit le problème d’un représentant, ce dernier hésitera à lui faire confiance à l’avenir. Un mentor idéal est donc suffisamment réceptif pour faire face à tous les problèmes qui lui sont soumis.
Un bon mentor gère bien son temps
Le mentorat prend du temps et progresse par étapes. Les mentorés ne se sentiront pas prêts à dévoiler leurs intérêts et leurs combats à court terme avec un représentant supérieur. La relation mentor-mentoré est créée par des collaborations standard sur une longue période. Un mentor doit avoir la possibilité de se concentrer quelque temps avec un mentoré sans compromettre son propre résultat. On peut compter sur un bon guide pour gérer son temps. Il respecte les contraintes de temps, se prépare, et peut donner un avis précoce en supposant que son travail soit retardé. Le mentorat exige en outre un engagement : si le tuteur reprogramme un grand nombre de rencontres avec son protégé, la relation en souffrira. Un mentor doit se sentir ouvert à l’idée d’intégrer une longue obligation de développement d’une autre personne dans son propre plan de travail.
Un bon mentor est compréhensif
Un mentor doit avoir la possibilité de se mettre à la place de son protégé. Il montre à son protégé comment explorer son métier dans la réalité, en partageant des connaissances et des enseignements tirés de sa propre expérience. Un mentor doit comprendre le travail de son protégé pour saisir l’ampleur et la complexité de ses préoccupations. Si possible, un mentor ou tuteur doit travailler dans un domaine connexe, mais il n’est pas nécessaire que ce soit un poste similaire. Alors qu’un comptable ne tirera probablement pas grand-chose d’un planificateur visuel, un représentant des ressources humaines et un chef des ventes pourraient s’entendre sur le fait d’être un diplomate confronté à l’extérieur pour l’organisation. C’est la raison pour laquelle le jumelage des tuteurs peut s’avérer particulièrement difficile, le cycle imparfait étant le fondement d’un jumelage efficace. Un mentor pense souvent à aider son protégé à surmonter ses difficultés, car il est passé par là lui aussi.